Repais de masèl

Collecté en 1997 par IOA Sur la Commune de Verrières Voir sur la carte
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Introduction

Quand on tuait le cochon, la famille et les voisins étaient mis à contribution. Les enfants n’allaient pas à l’école.

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services d'un tuaire ou sangnaire. Souvent, il dessinait une croix avec la pointe de son couteau avant de saigner la bête.

En général, on égorgeait le cochon sur un banc, sur une maie (mag) ou sur de la paille, on le nettoyait en le brûlant ou en l'ébouillantant (espaumar), après avoir arraché les soies (sedas) avec une vrille (torniquet). Selon les endroits, on ouvrait le cochon, après avoir coupé la tête et les pieds, soit par le dos (per l'esquina), soit par le ventre (pel ventre).

Le jour du sacrifice du cochon, on mangeait souvent une soupe avec un morceau de viande du cou (copet, glandola, barbaròt), la sanqueta ou du boudin (bodin, sang), le bouilli de porc (bolhit) ou du porc frais (porquet).

Ethnotexte

Maria PONS

née en 1911 à Verrières.

Transcription

Occitan
Français
« Lo seras, manjàvem la sopa ambe la glandola, una padenada de bodin e de porquet. »

Pas de traduction pour le moment.

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Localisation

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