Sangnar lo pòrc

Collecté en 1997 par IOA Sur la Commune de Viala-du-Tarn Voir sur la carte
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Introduction

Quand on tuait le cochon, la famille et les voisins étaient mis à contribution. Les enfants n’allaient pas à l’école.

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services d'un tuaire ou sangnaire. Souvent, il dessinait une croix avec la pointe de son couteau avant de saigner la bête.

En général, on égorgeait le cochon sur un banc, sur une maie (mag) ou sur de la paille, on le nettoyait en le brûlant ou en l'ébouillantant (espaumar), après avoir arraché les soies (sedas) avec une vrille (torniquet). Selon les endroits, on ouvrait le cochon, après avoir coupé la tête et les pieds, soit par le dos (per l'esquina), soit par le ventre (pel ventre).

Ethnotexte

Maria CLUZEL

née Montès en 1916 à Ambias du Viala du Tarn.

Transcription

Occitan
Français
« Lo sagnavan sus un banc e après fasián bolhir d’aiga.
Lo dubrissián pel ventre. »

Pas de traduction pour le moment.

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Localisation

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