Lo pòrc talament gròs

Collecté en 1997 par IOA Sur les Communes de Viala-du-Tarn, Castelnau Pégayrols Voir sur la carte
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Introduction

Quand on tuait le cochon, la famille et les voisins étaient mis à contribution. Les enfants n’allaient pas à l’école.

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services d'un tuaire ou sangnaire. Souvent, il dessinait une croix avec la pointe de son couteau avant de saigner la bête.

En général, on égorgeait le cochon sur un banc, sur une maie (mag) ou sur de la paille, on le nettoyait en le brûlant ou en l'ébouillantant (espaumar), après avoir arraché les soies (sedas) avec une vrille (torniquet). On les revendait à la foire de la Mi-carême de Rodez pour la confection de blaireaux ou de pinceaux.

Selon les endroits, on ouvrait le cochon, après avoir coupé la tête et les pieds, soit par le dos (per l'esquina), soit par le ventre (pel ventre).

La sot est la porcherie.

Ethnotexte

Marcel HUMBERT

né en 1921 dans les Vosges.

Transcription

Occitan
Français
« Un còp, agèron un pòrc talament gròs que podiá pas sortir per la pòrta de la sot. Alara lo tuèron dins la sot e lo sortiguèron en tròces. »

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Localisation

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