Lo siu de moton
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours. On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lis blanc, menthe, arnica, millepertuis…
Le suint (siu) de la laine de mouton aidait à soigner les gerçures.
Ethnotexte
Eugène BONATERRE
né en 1917 à Verrières.
Transcription
Occitan
Français
« Lo siu de moton fasiá per las gerçuras. »
Pas de traduction pour le moment.
© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
Localisation
Vous aimerez aussi...
En cours de chargement...