Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours.
L'utilisation barbare du pigeon ou du chat mâle éventré vif pour soigner une méningite (mal cuc) ou une congestion (mal de costat) était préconisée par les médecins de l’Antiquité relayés par ceux de l’université de Montpellier au Moyen Age.
Dans la famille de notre informateur, pour un mal de costat, on plaçait de l'avoine (civada) chaude sur le côté du malade.
Ethnotexte
Paul SÉGURET
né en 1930 à Verrières.
Transcription
Occitan
Français
Pas de traduction pour le moment.