Lo mal de costat

Collecté en 1997 par IOA Sur la Commune de Verrières Voir sur la carte
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Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours.

L'utilisation barbare du pigeon ou du chat mâle éventré vif pour soigner une méningite (mal cuc) ou une congestion (mal de costat) était préconisée par les médecins de l’Antiquité relayés par ceux de l’université de Montpellier au Moyen Age.

Dans la famille de notre informateur, pour un mal de costat, on plaçait de l'avoine (civada) chaude sur le côté du malade.

Ethnotexte

Paul SÉGURET

né en 1930 à Verrières.

Transcription

Occitan
Français
« Quand avián un mal de costat, fasián caufar de civada a la padena, la metián dins un petaç e pièi sus las còstas. »

Pas de traduction pour le moment.

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