Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours. On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lis blanc, menthe, arnica, millepertuis…
La fleur de sureau (saüt, saüc, sòi) soignait plusieurs pathologies : entorses, états grippaux, problèmes ophtalmiques...
Ethnotexte
Elie UNAL
né en 1910 aux Parets de Verrières.
Transcription
Occitan
Français
« La flor de saüt en tisana fasiá pels uèlhs. »
Pas de traduction pour le moment.
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