Los lavaments e los enguents
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
Quand on tuait le cochon, on gardait la vessie (vessiga) pour faire des lavements et le fiel (fèl) du foie pour élaborer des onguents.
Ethnotexte
Transcription
Occitan
Français
« Quand tuàvem lo pòrc gardàvem la vessiga per dire de poder far de lavaments se i aviá qualqu'un de malaute dins l'ostal.
Gardavan lo fèl tanben per far d'enguents. »
Gardavan lo fèl tanben per far d'enguents. »
Pas de traduction pour le moment.
© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
Localisation
Vous aimerez aussi...
En cours de chargement...