Lo tuaire de pòrcs

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de St-Salvadou Voir sur la carte
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Introduction

Quand on tuait le cochon, la famille et les voisins étaient mis à contribution. Les enfants n’allaient pas à l’école.

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services d'un tuaire ou sangnaire. Souvent, il dessinait une croix avec la pointe de son couteau avant de saigner la bête.

En général, on égorgeait le cochon sur un banc, une maie (mag), deux chaises ou sur de la paille, on le nettoyait en le brûlant ou en l'ébouillantant (rufar, espaumar), après avoir arraché les soies (sedas) avec une vrille (torniquet). 

Selon les endroits, on ouvrait le cochon, après avoir coupé la tête et les pieds, soit par le dos (per l'esquina), soit par le ventre (pel ventre).

Ethnotexte

Elie LAGARRIGUE

né en 1919 à Saint-Salvadou.

Transcription

Occitan
Français
« Mon paire èra tuaire de pòrcs. Lo sangnava sus una mag e apèi lo metiá dedins per l’ebolhentar per enlevar la borra, ambe de còrdas. El lo durbiá pel ventre. »

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Localisation

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