Lo tuar del pòrc

Collecté en 1999 par IOA Sur les Communes de Privezac, Prévinquières Voir sur la carte
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Introduction

Quand on tuait le cochon, la famille et les voisins étaient mis à contribution. Les enfants n’allaient pas à l’école.

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services d'un tuaire ou sangnaire. Souvent, il dessinait une croix avec la pointe de son couteau avant de saigner la bête.

En général, on égorgeait le cochon sur un banc, une maie (mag), deux chaises ou sur de la paille, on le nettoyait en le brûlant ou en l'ébouillantant (espaumar), après avoir arraché les soies (sedas) avec une vrille (torniquet). 

Selon les endroits, on ouvrait le cochon, après avoir coupé la tête et les pieds, soit par le dos (per l'esquina), soit par le ventre (pel ventre).

Ethnotexte

René CAYSSIALS

né en 1923 à La Trivale de Privezac.

Transcription

Occitan
Français
« Ai vist tuar lo pòrc sus doas cadièiras, sus una mag, sus un banc de fustièr… Lo tuaire, per lo sangar, li metiá un barron de grifol dins lo cais.
Lo durbissián per l’esquina e pèissas se metèron a lo penjar per una escala per lo duèbre pel ventre. »

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