Lo sangnaire

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de Pradinas Voir sur la carte
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Introduction

Quand on tuait le cochon, la famille et les voisins étaient mis à contribution. Les enfants n’allaient pas à l’école.

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services du tuaire ou sangnaire. Souvent, il dessinait une croix avec la pointe de son couteau avant de saigner la bête.

En général, on égorgeait le cochon sur un banc ou sur de la paille, on le nettoyait en le brûlant ou en l'ébouillantant (espaumar), après avoir arraché les soies (sedas) avec une vrille (torniquet). Selon les endroits, on ouvrait le cochon, après avoir coupé la tête et les pieds, soit par le dos (per l'esquina), soit par le ventre (pel ventre).

Ethnotexte

Achille HYGONNENQ

né en 1905 à Pradinas.

Transcription

Occitan
Français

« N’i a que fasián lo signe de la crotz dabans de plantar lo cotèl. L’ai vist far.

Cada sagnaire aviá sa metòda. leu, ai vist far pel ventre e per l’esquina, los dos. »

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Localisation

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