Tuar lo pòrc

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Moyrazès, Nauviale Voir sur la carte
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Introduction

Quand on tuait le cochon, la famille et les voisins étaient mis à contribution. Les enfants n’allaient pas à l’école.

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services du tuaire ou sangnaire. Souvent, il dessinait une croix avec la pointe de son couteau avant de saigner la bête.

En général, on égorgeait le cochon sur un banc ou sur de la paille, on le nettoyait en le brûlant  (flambuscar) ou en l'ébouillantant (espaumar, rufar), après avoir arraché les soies (sedas) avec une vrille (torniquet). Selon les endroits, on ouvrait le cochon, après avoir coupé la tête et les pieds, soit par le dos (per l'esquina), soit par le ventre (pel ventre).

Ethnotexte

Roger et Hélène MOULY

né en 1924 à Greffuel de Moyrazès : née Ginestet en 1925 à Nauviale.

Transcription

Occitan
Français

« Lo dubrissián per l’esquina. Lo sangnavan sus de palha o sus un banc e pièi l’arrosàvem ambe d’ai(g)a bolhenta e amassàvem lo sang. I a d’airals que lo flambavan. »

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