La bolhida dels pòrcs

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de Moyrazès Voir sur la carte
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Introduction

Les propriétaires de truies (truèjas, mauras) vendaient les porcelets (porcèls, tessons) sur les foires à ceux qui souhaitaient en engraisser. Ils conservaient ce qui leur était nécessaire pour leur consommation et pour renouveler la truie que l’on tuait. On vendait également des porcs gras. 

Jadis, il fallait des porcs très gras car la chair était plus savoureuse, le lard était utilisé pour la soupe et la graisse remplaçait l’huile dans la cuisine. On les engraissait avec des bouillies, des raves, des pommes de terre (patanons), des châtaignes (castanhas), de la farine et toutes sortes de verdures. 

Ethnotexte

André RAYNAL

né en 1926 à Greffuel de Moyrazès, décédé en 2017.

Transcription

Occitan
Français

« En proporcion, avián mai de pòrcs que de vacas. Dins l’ostal, al pè de la cosina, i aviá l’ai(gu)ièira ont i aviá lo salador que salavan lo pòrc. I aviá un parelh d’embucs amb una trapa dessús e totas las ai(g)as de la vaissèla davalava. Fasián còire de patanons, los vojavan aquí, aquò tombava directament aval amb una forca dins tres estables diferents. »

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