L'òli de còlza

Collecté en 1994 par IOA Sur la Commune de Lescure-Jaoul Voir sur la carte
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Introduction

En plus des meules farinièiras, la plupart des moulins possédaient un pilon, ase ou vertelh pour écraser les noix ou les pommes dont on faisait de l’huile (òli) ou du cidre (citra). Certains moulins possédaient aussi une scie hydraulique (rèssa, resseguièr).

On faisait aussi de l'huile de colza.

Jadis, c'était le meunier qui allait dans les fermes pour récupérer le grain à moudre, à dos de mulets ou de mules (muòls, muòlas), et qui livrait ensuite la farine. Plus tard, on apporta son grain au moulin. On attendait généralement la fin de la mouture pour reprendre sa farine. 

Certains moulins ont conservé l’essentiel de leur équipement jusqu’à nos jours.

Ethnotexte

Maurice SAUREL

né en 1919 à Flauzins de Lescure-Jaoul.

Transcription

Occitan
Français
« L'òli, lo monde lo crompavan pas, se fasiá de còlza. L'anavan trolhar, passar al molin. Ne fasiam l'òli de tota l'annada. »

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