L'òli de còlza
Introduction
En plus des meules farinièiras, la plupart des moulins possédaient un pilon, ase ou vertelh pour écraser les noix ou les pommes dont on faisait de l’huile (òli) ou du cidre (citra). Certains moulins possédaient aussi une scie hydraulique (rèssa, resseguièr).
On faisait aussi de l'huile de colza.
Jadis, c'était le meunier qui allait dans les fermes pour récupérer le grain à moudre, à dos de mulets ou de mules (muòls, muòlas), et qui livrait ensuite la farine. Plus tard, on apporta son grain au moulin. On attendait généralement la fin de la mouture pour reprendre sa farine.
Certains moulins ont conservé l’essentiel de leur équipement jusqu’à nos jours.
Ethnotexte
Maurice SAUREL
né en 1919 à Flauzins de Lescure-Jaoul.
Transcription
Occitan
Français
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