L'òli de nose per l'estòfinada

Collecté en 1994 par IOA Sur la Commune de La Salvetat-Peyralès Voir sur la carte
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Introduction

Pendant longtemps la noix a fourni au Rouergue l’essentiel de l’huile (òli) qui était utilisée pour la cuisine en temps de carême ou pour l’éclairage dans les lampes à huile (calelhs). 

On organisait des veillées pour décortiquer les noix (desnogalhar).

En plus des meules farinièiras, la plupart des moulins possédaient un pilon, ase ou vertelh pour écraser les noix ou les pommes dont on faisait de l’huile (òli) ou du cidre (citra).

Le stockfisch (estòfin), importé par la vallée d’Olt, semble s’être répandu vers le milieu du XIXe siècle dans tout le Rouergue occidental. L'estòfinada se prépare avec l'estòfin, des pommes de terre, des œufs durs, une persillade et de l'huile de noix.

Ethnotexte

Renée ICARD

née Filhol en 1919 à Causac.

Transcription

Occitan
Français
« Ai un oncle que ne fasiá, d'òli de nose.
L'òli de nose, quand fasiam l'estòfinada, ne metiam. »

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