Los pòrcs

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de La Bastide-l'Évêque Voir sur la carte
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Introduction

Il y eut autrefois des races régionales comme les tecats, semblables aux limosins ou aux gascons, mais la race la plus répandue au début du XXe siècle était celle des craoneses, aux larges oreilles rabattues. Puis vinrent les large-white anglais aux oreilles dressées, les quilha-aurelhas.

Jadis, il fallait des porcs très gras car la chair était plus savoureuse, le lard était utilisé pour la soupe et la graisse remplaçait l’huile dans la cuisine. 

On les engraissait avec des bouillies (bolhidas) de betteraves (bledas), de choux (caulets), de pommes de terre (patanons), de farine et toutes sortes de verdures, mais aussi avec des châtaignes (castanhas), des glands (aglands).

L'espotidor servait à écraser le contenu du chaudron en fonte (fornet). Espotir signifie écraser, broyer.

Ethnotexte

Roger ALET

né en 1926 à La Baraque de l'Ortal de La Bastide l'Evêque.

Transcription

Occitan
Français
« Sovent, aquò èra de craoneses, avián las aurelhas que pindolavan.
Los fasián venir ambe de patanons, fasián la bolhida. Ramassavan de bledas que fasián còire. Al fornet i aviá un espotidor, espotissián aquò e mesclavan de farina de blat, o d’òrdi, o de paumola. »

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