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Introduction

À côté de quelques grands domaines et d’exploitations moyennes, il y avait autrefois un grand nombre de petits paysans qui vivaient en polyculture sur des propriétés morcelées. Ce morcellement était dû en partie aux aléas successoraux et aux opportunités d’acquisition, mais également au souci d’utiliser au mieux la diversité des terroirs en fonction de la nature des sols et de leur exposition. 

Autour d’une dizaine d’hectares, une ferme (bòria) pouvait être viable s’il y avait un équilibre entre le nombre de bras au travail et le nombre de bouches à nourrir. Les anciens et les enfants participaient à l’effort de production.

Parfois, on avait une seule vache et on s'associait avec le voisin qui, lui-même, n'avait également qu'une seule vache pour les atteler ensemble. On appelait cela avoir une vache a mièjas.

Ethnotexte

Roger ALET

né en 1926 à La Baraque de l'Ortal de La Bastide l'Evêque.

Transcription

Occitan
Français
« Fasián lo vedèl, fasián pas lo lach, e los pòrcs grasses. E apièi vendián qualquas castanhas, de rascalons, un bocin de blat… Los patanons pas plan, aquò èra pas la region aicí [La Bastida]. Aquò èra puslèu del costat de Riupeirós.
La miá mèra èra nascuda a un ostal que avián una vaca. Engraissavan un pòrc mès, quand volián trabalhar ambe l’araire ponchut, avián cresi tres ectaras de tèrra, lo vesin lor prestava una vaca. »

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