La bolhida dels pòrcs

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de La Bastide-l'Évêque Voir sur la carte
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Introduction

Les propriétaires de truies (truèjas, trèjas, maura) vendaient les porcelets (tessons, porcèls) sur les foires à ceux qui souhaitaient en engraisser. Ils conservaient ce qui leur était nécessaire pour leur consommation et pour renouveler la truie que l’on tuait. On vendait également des porcs gras. 

Jadis, il fallait des porcs très gras car la chair était plus savoureuse, le lard était utilisé pour la soupe et la graisse remplaçait l’huile dans la cuisine. 

On les engraissait avec des bouillies (bolhidas) de betteraves (bledas), de choux (caulets), de pommes de terre (patanons), de farine et toutes sortes de verdures, mais aussi avec des châtaignes (castanhas), des glands (aglands)

On conduisait même les porcs dans les châtaigneraies, après la récolte, ou dans les bois de chênes (garrics) pour qu'ils mangent les glands.

L'espotidor servait à écraser le contenu du chaudron en fonte (fornet). Espotir signifie écraser, broyer.

Ethnotexte

Jean DARRES

né en 1929 à Teulières de La Bastide-l'Evêque.

Transcription

Occitan
Français
« Quand avián pas l’espotidor, a l’epòca, fasián ambe la palabèissa o amb un bigòs sul fornet. »

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Localisation

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