Tuar lo pòrc

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Huparlac, La Terrisse Voir sur la carte
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Introduction

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services du tuaire ou sangaire. Pour préparer la charcuterie, les femmes se faisaient aider par une maselaira.

Sur la montagne, en général, on égorgeait le cochon sur un banc ou sur de la paille. On brûlait les soies (sedas) qui n’étaient pas récupérées au torniquet avec de la paille, en évitant de cuire la codena. Puis, on raclait le cochon avec des pierres. Enfin, on l'ouvrait par le dos (per l'esquina), après avoir coupé la tête (cap) et les pieds (pès).

Souvent, le jour où l'on tuait le cochon, on préparait une soupe avec les os de la colonne vertébrale (plaissa, trinquet, rastèl de l'esquina). Dans certaines familles on mangeait du boudin (lo sang).

Ethnotexte

VALADIER ZÉLIE ET ANDRÉ ET GINISTY AURÉLIE

née Casse en 1911 à Mayrinhac d'Huparlac ; né en 1933 à La Terrisse ; née Casse en 1915 à Mayrinhac d'Huparlac.

Transcription

Occitan
Français
« I aviá un banc tuaire o alara aquò se fasiá sus un carri.
Alara pièissa caliá brutlar lo pòrc ambe de palha, lo rasclar ambe de ròcs e ambe de cotèls. Se durbiá de per l’esquina, aicí.
Fasiam la plaissa a la sopa. Mès i a d’ostaus que se fasiá de sang, aquel jorn. E pièi, tant que podiam, fasiam una volalha, un piòt. »

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