Lo secador-sot

Collecté en 2000 par IOA Sur les Communes de Huparlac, Soulages-Bonneval Voir sur la carte
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Introduction

Il y avait des séchoirs à châtaignes (secadors) sur place, dans les castanhaus, près des maisons associés au four à pain, et parfois même dans la maison sous la forme d’une cleda placée dans la cheminée.

Très riches en oligo-éléments, les châtaignes séchées (auriòls) étaient utilisées aussi bien pour nourrir les hommes que pour le bétail.

En Rouergue, plusieurs termes désignent la châtaigne séchée : auriòl, castanhon, secon, rufet, rufòl, afachon…

Alors que sur le Ségala, le secador est surtout associé au four, sur le canton de Saint-Amans c’est souvent la porcherie (sot) qui est convertie en secador au moment du ramassage des castanhas. Les bovins étant encore dehors, on mettait les cochons dans l’étable des vaches.

Ethnotexte

André et Marie-Thérèse COMBETTES

né en 1928 à Authun d'Huparlac ; née Cassagnes-Gourdon en 1930 à Soulages-Bonneval.

Transcription

Occitan
Français
« Les secadors èran dins la sot dels pòrcs. Sortián les pòrcs pendent sai pas quant de temps, un mes o dos, les metián a l’estable tant que avián pas claus, e metián de socas. Fasián secar las castanhas. Cada ser, anavan bolegar aquel fuòc e i metián maisses socas, qu’aquò fumèsse. »

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Localisation

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