Caufar lo forn

Collecté en 2000 par IOA Sur les Communes de Florentin-La Capelle, St-Symphorien-de-Thénières Voir sur la carte
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Introduction

Faute de froment, on mangeait du pain de seigle (pan de sega). On faisait aussi du pain de mescla avec plusieurs variétés de farines.

On gardait le levain (levam) d’une fois sur l'autre et on pétrissait la pâte dans une maie (mag).

On répartissait ensuite cette pâte dans des corbeilles en paille (palhassas, palhassons) que l'on plaçait au chaud, souvent sous un édredon (plumon), afin qu'elle lève.

On cuisait le pain au four de la ferme ou dans un four commun à plusieurs maisons.

Ceux qui avaient des vignes gardaient les sarments pour allumer le four.

Ethnotexte

Emile DELBOUIS

né en 1932 à Florentin-La Capelle.

Transcription

Occitan
Français
« Caliá un parelh d’oras per caufar lo forn. Fasián ambe de bròcas de un bocin de tot. I a d’endriches que fan ambe de cades o d’afaires coma aquò mès, naltres, n’i aviá pas tròp, caufàvem ambe de bròcas de garric o quicòm mai. »

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Localisation

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