Lo tuaire
Introduction
Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services du tuaire ou sangnaire. André fit ce métier pendant 30 ans.
Ce témoignage est illustré par un film tourné à Cassagnettes d'Olemps par Maurice Bertrand.
Vidéo
© Institut occitan de l'Aveyron - Réalisation Amic BEDEL / Maurice BERTRAND
André GRIFFOUL
né en 1936 à Montals de Coussergues.
Transcription
Occitan
Français
« Amb aquelas carlòtas o de bledas, aquí, n'engraissàvem un per l'ostal, parce que pendent la guèrra o caliá tot…
Lo tuàvem, oui. Mès encara se'n tua ben qualqu'unses.
Ieu, o ai fach pendent trenta ans mès ara ai arrestat. De mens en mens, pels vesins, apr'aquí, per la comuna. A mès se'n tuava maisses que uèi. »
Lo tuàvem, oui. Mès encara se'n tua ben qualqu'unses.
Ieu, o ai fach pendent trenta ans mès ara ai arrestat. De mens en mens, pels vesins, apr'aquí, per la comuna. A mès se'n tuava maisses que uèi. »
Le saigneur de cochons
« Avec ces carottes ou des betteraves, là, nous en engraissions un pour la maison, parce que pendant la guerre il fallait tout…
Nous le tuions, oui. Mais encore on en tue bien quelques-uns.
Moi, je l'ai fait pendant trente ans mais maintenant j'ai arrêté. De moins en moins, pour les voisins, par-là, dans la commune. Ah mais on en tuait plus qu'aujourd'hui. »
« Avec ces carottes ou des betteraves, là, nous en engraissions un pour la maison, parce que pendant la guerre il fallait tout…
Nous le tuions, oui. Mais encore on en tue bien quelques-uns.
Moi, je l'ai fait pendant trente ans mais maintenant j'ai arrêté. De moins en moins, pour les voisins, par-là, dans la commune. Ah mais on en tuait plus qu'aujourd'hui. »
Localisation
Vous aimerez aussi...
En cours de chargement...