La plaissa e l'espatla de davant

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Cantoin, Ste-Geneviève-sur-Argence Voir sur la carte
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Introduction

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services du tuaire ou sangaire. Pour préparer la charcuterie, les femmes se faisaient aider par une maselaira.

Sur la montagne, en général, on égorgeait le cochon sur un banc ou sur de la paille. On brûlait les soies (sedas) qui n’étaient pas récupérées au torniquet avec de la paille, en évitant de cuire la codena. Puis, on raclait le cochon avec des pierres. Enfin, on l'ouvrait par le dos (per l'esquina), après avoir coupé la tête (cap) et les pieds (pès).

Souvent, le jour où l'on tuait le cochon, on préparait une soupe avec les os de la colonne vertébrale (plaissa, trinquet, rastèl de l'esquina).

Ethnotexte

Pierre CHASSEFEYRE

né en 1948 à Sainte-Geneviève.

Transcription

Occitan
Français
« Aquel jorn manjàvem un tròç de plaissa a la sopa e l’espatla de davant, aquí. La plaissa, comptavan una part per cadun.
La copavan ambe la destral dabans d’o metre a la sopa e o fasián tenir amb una ficèla per o tornar sortir. »

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