Tuar lo pòrc

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de Camboulazet, Rodez Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

Quand on tuait le cochon, la famille et les voisins étaient mis à contribution. Les enfants n’allaient pas à l’école.

Pour tuer le cochon ou far masèl, on utilisait les services du tuaire ou sangnaire. Souvent, il dessinait une croix avec la pointe de son couteau avant de saigner la bête.

En général, on égorgeait le cochon sur un banc ou sur de la paille, on le nettoyait en le brûlant  (flambuscar) ou en l'ébouillantant (espaumar, rufar), après avoir arraché les soies (sedas) avec une vrille (torniquet). Selon les endroits, on ouvrait le cochon, après avoir coupé la tête et les pieds, soit par le dos (per l'esquina), soit par le ventre (pel ventre).

Ethnotexte

Jules ENJALBERT

né en 1941 à Rodez, décédé en 2012.

Transcription

Occitan
Français

« A l’epòca, fasián sus una bòta de palha, e lo rufavan ambe de raspas, de vièlhas dalhes. E lo dubrissián per l’esquina. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...