Lo secador

Collecté en 1996 par IOA Sur la Commune de Brommat Voir sur la carte
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Introduction

Il y avait des séchoirs à châtaignes (secadors) sur place, dans les castanhaus, près des maisons, associés au four à pain, et parfois même dans la maison sous la forme d’une cleda placée dans la cheminée.

Très riches en oligo-éléments, les châtaignes séchées (auriòls, auriòus) étaient utilisées aussi bien pour nourrir les hommes que pour le bétail.

On les réduisait même en farine.

Pour enlever la première pelure, on utilisait un tonneau (barrica) et une massue. On retirait la seconde peau à la main.

Pour pouvoir les consommer, les auriòus devaient être cuits à l’eau ou dans du lait.

En Rouergue, plusieurs termes désignent la châtaigne séchée : auriòu, castanhon, secon, rufet, rufòl, afachon…

Ethnotexte

Marie-Louise GRANIER

née Zamora en 1931 à Brommat.

Transcription

Occitan
Français
« Ne fasiá secar pels pòrcs, l’ivèrn, aviá un secador. Ara a cramat, lo secador, mès aquò’s domatge que, sus la pòrta, i aviá lo nom del grand-paire ambe sa data de naissença. O aviá fach al cotèl. »

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