Lo lach per Ròcafòrt
Introduction
A côté de quelques grands domaines isolés, situés en général sur les puègs, et d’exploitations moyennes, il y avait autrefois un grand nombre de petits paysans qui vivaient sur des propriétés morcelées.
Avec le développement de Roquefort, progressivement, à partir de la fin du XIXe siècle, des laiteries (lachariás, lachariès) s’installèrent dans les villages, dans certains hameaux et même dans les exploitations les plus importantes, partout en Rouergue, à l’exception de l’extrême nord et de l’ouest du département. Beaucoup de villages avaient plusieurs laiteries dépendant de sociétés différentes.
Ethnotexte
René PORTES
né en 1926 à Saint-Symphorien du Viala du Tarn.
Transcription
Occitan
Français
I aviá lo lach de Ròcafòrt que raportava un bocin. »
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