La molza

Collecté en 1997 par IOA Sur la Commune de Viala-du-Tarn Voir sur la carte
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Introduction

Avec le développement de Roquefort, progressivement, à partir de la fin du XIXe siècle, des laiteries (lachariás, lachariès) s’installèrent dans les villages, dans certains hameaux et même dans les exploitations les plus importantes, partout en Rouergue, à l’exception de l’extrême nord et de l’ouest du département.

On trayait assis à l’arrière de la bête sur un tabouret à trois pieds appelé sèla ou selon, dans un seau en fer blanc plus large que haut, la selha, lo selhon, lo molzedor ou la basta, que l’on serrait entre ses talons, entre cambas.

Soubattre (sosbatre) signifie frapper le pis de la brebis (feda) avec le revers de la main pour que tout le lait contenu dans le pis soit prélevé. Il ne fallait cependant pas être trop brutal car la bête risquait de développer une mammite infectieuse. Les débutants ne le faisaient pas.

Ethnotexte

André LACAN

né en 1926 à Saint-Symphorien du Viala du Tarn.

Transcription

Occitan
Français
« Se preniá la selha e la sèla.
En principe, aquò èra lo pastre que sosbatiá.
Dins una ora, molzián sai pas quantas de fedas, benlèu vint-a-cinc fedas. »

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Localisation

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