La còrna (L'aurelha de peis)
Introduction
Jusqu'en 1966, Georges Andrieu, comme avant lui son père, réveillait chaque matin la ferme au son de cette trompe faite dans un coquillage marin.
Nous avons déjà enregistré ce type d'instrument d'appel à Salles-la-Source mais là, comme dans la plupart des cas, elle était sonnée par le berger qui se réveillait le premier. (CORDAE)
Vidéo
© Amic BEDEL - Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
Georges ANDRIEU
né en 1929 à Laviale-Haute de Vezins, décédé en 2019.
Transcription
Occitan
Français
« A-n-aquela epòca aviái dos vailets l'estiu, un pastre e i aviá la serventa atanben, e lo vaquièr, tot aquò, e lo pastre… Lo matin, per los sonar e ben ère lo premièr levat e, ambe la còrna, allez, tot lo monde en l'èrt ! Los esperave per biure lo cafè e pièi d'aquí partissiam a la jaça. »
La corne (L'oreille de poisson)
« À cette époque j'avais deux domestiques l'été, un berger et il y avait la bonne aussi, et le vacher, tout ça, et le berger… Le matin, pour les appeler eh bien j'étais le premier levé et, avec la corne, allez, tout le monde debout ! Je les attendais pour boire le café et puis de là nous partions à la bergerie. »
« À cette époque j'avais deux domestiques l'été, un berger et il y avait la bonne aussi, et le vacher, tout ça, et le berger… Le matin, pour les appeler eh bien j'étais le premier levé et, avec la corne, allez, tout le monde debout ! Je les attendais pour boire le café et puis de là nous partions à la bergerie. »
Localisation
Vous aimerez aussi...
En cours de chargement...