Deux femmes et trois jeunes filles (castanhairas) ramassant des châtaignes (castanhas), au Tayral, 1895

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Introduction

Deux femmes et trois jeunes filles (castanhairas) ramassant des châtaignes (castanhas), au Tayral, 1895

Rosalie, Marie, Victoire Gladin, Marthe et Victorine.

Pour ramasser les châtaignes, on faisait parfois appel à de jeunes filles des villes ou des villages alentour (castanhairas) ou à des journaliers payés en nature, « a tres per un », c’est-à-dire que le castanhaire avait droit à une châtaigne pour trois ramassées. Certains anciens ont entendu parler du « cinc per un », cinq châtaignes ramassées pour une conservée. Avec l’évolution du salaire, la mode est passée à mi-fruits (« a mièjas »), puis à la rémunération en argent au milieu du XXe siècle. Le ramassage s’effectuait à l’aide d’une petite branche fourchue (forcadèl) à deux ou trois brins pour écarter les feuilles et les bogues, ou d’une pince en bois (gadafa) destinée à attraper les châtaignes qui étaient encore dans leur bogue (pelon, bondon).

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Castanhairas al Tairal de Vaurelhas, 1895

Photo

 Deux femmes et trois jeunes filles (castanhairas) ramassant des châtaignes (castanhas), au Tayral, 1895
© GLADIN Roger (Montbazens)

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