Introduction
Les moissons mécanisées ont succédé aux moissons avec la fauç ou lo volam autour de la Première Guerre mondiale. Il y eut tout d’abord des machines javeleuses (gavelairas), puis lieuses (ligairas). Les ouvriers agricoles ne virent pas arriver ces machines d'un très bon œil.
Pour lier les gerbes à la main, on employait un ligador.
On faisait des tas (crosèls) de douze ou seize gerbes dans le champ moissonné. Ces crosèls étaient ensuite transportés pour former un grand gerbier (plonjon) près de l'aire de battage (sòl).
Ethnotexte
Marie-Thérèse MARMIESSE
née Cadillac en 1934 aux Fargues de Vabre-Tizac.
Transcription
Occitan
Français
« Aviái un oncle que aviá pas que tretze ans a l’epòca, èra sul Pèg-Guibèrt amont que missonava, vesiá quand alucavan lo lum a l’ostal e, pendent la misson, missonava a la fauç mès, la nèch, jasiá darrèr un crosèl. »
Pas de traduction pour le moment.
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