Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On utilisait les fleurs ou les feuilles de lis blanc (liri, lire), que l'on conservait dans de l'huile (òli) ou de l'eau de vie (aigardent), pour soigner les coups (pics, pets) ou les plaies (plagas, talhadas, brutladuras…).
Ethnotexte
Marthe FAILLES
née Pouget en 1935 à Pervilhergues de Thérondels.
Transcription
Occitan
Français
« Ma maire metiá de fuèlhas de lis dins d’òli. »
Pas de traduction pour le moment.
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