La molza al masuc

Collecté en 1996 par IOA Sur la Commune de Thérondels Voir sur la carte
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Introduction

Comme sur l'Aubrac, on pratiquait la transhumance bovine.

Les terres à pâturage d'altitude étaient appelées montanhas.

On y fabriquait la fourme.

La traite se faisait deux fois par jour, généralement au parc (pargue). Celui-ci était composé de claies (cledas) ramées (ramadas) et de claies nues. On le changeait de place (mudar) pour amender la terre et pour protéger les bêtes du vent, notamment au moment de la traite. Dans le temps, il servait aussi à protéger les veaux des attaques de loups.

Seuls le vaquièr et le veilet assuraient la traite des vaches, matin et soir.

Le pastre triait les veaux et les attachaient à la patte avant de leur mère pour qu'elle délivre son lait. Cette opération s'appelait far amairar (de maire : mère).

Ethnotexte

Pierre BÉLARD

né en 1935 à Frons de Thérondels.

Transcription

Occitan
Français
« Èran dos per mólzer, e lo pastre que preparava las vacas ambe les vedèls. Fasiá amairar, qu’aquò s’apelava.
Nautres molziam pas defòra, molziam a l’estable. N’i a que mudavan lo pargue e que molzián defòra. »

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Localisation

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