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Introduction

Quand quelqu'un disparaissait, on sonnait le glas (clas ou finida) et, dans certains secteurs du département, la sonnerie n'était pas la même pour un homme, une femme ou un enfant.

À la maison, on respectait quelques traditions : arrêter la pendule, fermer les volets, mettre un crêpe aux ruches, veiller le mort…

Une année de deuil, les éleveurs ne décoraient pas la vacada le 25 mai.

Les personnes qui s'occupaient du corps des défunts étaient appelées estopaires.

Le rituel des cérémonies d’enterrement dépendait de l’existence d’une confrérie de la Bonne Mort dans la paroisse ou de la classe d’enterrement choisie par la famille.

La neige rendait parfois les enterrements compliqués.

Ethnotexte

Pierre MOULIAC

né en 1936 à Sainte-Geneviève.

Transcription

Occitan
Français
« Un còp, i agèt un enterrament mès i aviá talament de nèu que lo corbilhard i po(gu)èt pas anar, lo menèron sul traîneau.
Un altre còp, en 56, per sortir un cercueil de Sent-Ivòni, aquò’s Pagés de La Vareta, ambe les buòus, que lo montèt. »

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