Sus la penta de Truèira

Collecté en 2000 par IOA Sur la Commune de St-Symphorien-de-Thénières Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

À côté de quelques grands domaines et d’exploitations moyennes, il y avait autrefois un grand nombre de petits paysans qui vivaient en polyculture sur des propriétés morcelées.

Ce morcellement était dû en partie aux aléas successoraux et aux opportunités d’acquisition, mais également au souci d’utiliser au mieux la diversité des terroirs en fonction de la nature des sols et de leur exposition.

Quand on n'avait pas assez de terres, on pouvait trouver un complément de revenu en exerçant un métier ou en se louant.

Ceux qui n'avaient pas de bétail de trait travaillaient à la main, avec des outils rudimentaires.

Autour d’une dizaine d’hectares, une ferme (bòria) pouvait être viable s’il y avait un équilibre entre le nombre de bras au travail et le nombre de bouches à nourrir.

Les anciens et les enfants participaient à l’effort de production.

Ethnotexte

Roger BOUTIÉ

né en 1927 à Paris.

Transcription

Occitan
Français
« Èran sus la penta de Truèira. I aviá de castanhièrses, pas mau, e fasián un bocin de cadun : un bocin de segle, un bocin de blat negre, de castanhas, de trefons… Elevavan dos o tres pòrcs, avián quatre o cinc vacas, avián un ase atanben. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...