Introduction
En pays d’élevage aux hivers longs, la provision de foin était essentielle et mobilisait toutes les énergies pendant l’été.
Les premières faucheuses arrivèrent aux alentours de la guerre de 1914-18.
Vidéo
© Amic BEDEL - Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
Pierre NIEL
né en 1932 à Aulos de Saint-Chély.
Transcription
Occitan
Français
« L'estiu, quand las bèstias èran a la montanha, se caliá ocupar d'amassar lo fen. L'amassàvem a braç. I aviá pas de tracturs, qualques briats las ègas, apra'quí, que dalhavan lo matin e una èga l'après-miègjorn qu'amassava lo fen. M'enfin se'n fasiá mai que mai a braç o ambe les buòus. E pièi, a l'entorn, i aviá qualquas devesas pel bestial jove. »
Le foin
« L’été, quand les bêtes étaient à la montagne, il fallait s’occuper de ramasser le foin. Nous le ramassions à la main. Il n’y avait pas de tracteurs, quelques juments, par là, qui fauchaient le matin et une jument l’après-midi qui ramassait le foin. Mais enfin on faisait surtout à la main ou avec les bœufs. Et puis, autour, il y avait quelques prés pour le bétail jeune. »
« L’été, quand les bêtes étaient à la montagne, il fallait s’occuper de ramasser le foin. Nous le ramassions à la main. Il n’y avait pas de tracteurs, quelques juments, par là, qui fauchaient le matin et une jument l’après-midi qui ramassait le foin. Mais enfin on faisait surtout à la main ou avec les bœufs. Et puis, autour, il y avait quelques prés pour le bétail jeune. »
Localisation
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