Embucar las aucas

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de St-Chély-d'Aubrac Voir sur la carte
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Introduction

La maîtresse de maison, la patrona, régnait sur le potager (òrt) et la basse-cour qui permettaient de couvrir une bonne partie des besoins alimentaires. Les excédents vendus au marché lui procuraient un peu d’argent pour les besoins de la famille.

En pays montanhòl, les oies (aucas) et les canards (rits) n’étaient pas toujours gavés (embucats), mais ils étaient suffisamment gras pour faire des quartiers confits.

On les gavait avec du blé (parfois trempé dans du lait) ou avec du maïs que l’on devait souvent acheter.

Les quartiers confits d’oie ou de canard permettaient à la maîtresse de maison d’accueillir convenablement ses invités en préparant rapidement un mets de choix.

Ethnotexte

Robert CARRIÉ

né en 1924 à Bonnefon de Saint-Chély d'Aubrac.

Transcription

Occitan
Français
« Ma maire, l’ai vist embucar d’aucas. Preniá l’auca entre las cambas. »

Pas de traduction pour le moment.

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Localisation

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