Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours. On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lis blanc, menthe, arnica, millepertuis (trescalan)…
Ethnotexte
Marie-Louise FOURNIER
née Alric en 1927 à Saint-Beauzély.
Transcription
Occitan
Français
« Lo trescalan èra pel mal de ventre. »
Pas de traduction pour le moment.
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