Lo mal de dents
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours. On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lis blanc, menthe, arnica, millepertuis…
C'était le forgeron (fabre) qui arrachait les dents.
Ethnotexte
Paulette PORTES
née Malaval en 1932 à Saint-Beauzély.
Transcription
Occitan
Français
« Aquò èra lo fabre que desrabava las dents. Alara nautres, a Sent-Bausèli, aviam totjorn dins l’òrt de pavèus roges, tres o quatre, e metiam la grana del mièg dins la dent crusa quand aviam mal. Ramassàvem aquelas gra- nas, las fasiam secar per n’avure tota l'annada. »
Pas de traduction pour le moment.
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