Lo mal de dents

Collecté en 1997 par IOA Sur la Commune de St-Beauzély Voir sur la carte
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Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours. On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lis blanc, menthe, arnica, millepertuis…

C'était le forgeron (fabre) qui arrachait les dents.

Ethnotexte

Paulette PORTES

née Malaval en 1932 à Saint-Beauzély.

Transcription

Occitan
Français
« Aquò èra lo fabre que desrabava las dents. Alara nautres, a Sent-Bausèli, aviam totjorn dins l’òrt de pavèus roges, tres o quatre, e metiam la grana del mièg dins la dent crusa quand aviam mal. Ramassàvem aquelas gra- nas, las fasiam secar per n’avure tota l'annada. »

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Localisation

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