La tisana de sèrp
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu'en dernier recours. On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lis blanc, menthe, arnica, millepertuis…
La peau ou la chair des serpents (sèrps) était souvent utilisée pour lutter contre une multitude de pathologies, notamment les douleurs abdominales ou les maladies de peau. En occitan, le mot sèrp est féminin : una sèrp.
Ethnotexte
Lucie GAVEN
née en 1905 à La Devèze de St-Beauzély.
Transcription
Occitan
Français
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