Sainte Barbe, sainte Fleur...

Collecté en 1998 par IOA Sur les Communes de St-Amans-des-Cots, Ste-Geneviève-sur-Argence Voir sur la carte
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Introduction

La maison (ostal, ostau) était presque toujours placée sous la protection divine, comme en témoignent parfois les croix gravées au-dessus des portes d’entrée.

On se protégeait de la foudre en invoquant les saints et en brûlant le laurier ou le buis des Rameaux, en allumant le cierge bénit ou en aspergeant d'eau bénite le seuil de la porte.

En Viadène comme en Barrez, on accrochait un chaudron (pairòl, pairòu) rempli d’eau dans la cheminée pour noyer la foudre : per negar lo tròn.

En Viadène comme en Barrez, on accrochait un chaudron (pairòl, pairòu) rempli d’eau dans la cheminée pour noyer la foudre : per negar lo tròn. Dans certaines familles, on plongeait même un objet en fer, le soufflet (bufador) ou la pelle à feu (rispa), dans le pairòu d'eau.

Cette prière, en langue française, invoque sainte Barbe, patronne des mineurs et des pompiers, et sainte Fleur, religieuse du Quercy voisin.

Ethnotexte

Gervais SALABERT

né en 1917 à Saint-Amans des Cots.

Transcription

Occitan
Français

Pas de transcription pour le moment.

« Sainte Barbe,
Sainte Fleur,
Vive la croix de mon Sauveur.
Tant que le monde dira ça,
Le tonnerre ne tombera pas. »
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