La traca de la citra

Collecté en 2001 par IOA Sur la Commune de Soulages-Bonneval Voir sur la carte
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Introduction

Il y avait des pommiers (pomièrs) dans les haies ou bartàs, surtout dans les travèrs des boraldas et des cossanas.

On trouve des pomarèdas à Soulages, à Cassuéjouls…

Il y avait les variétés à couteau, les variétés de longue conservation, les variétés à cidre (citra)… La variété la plus répandue sur la Montagne était la fustièira.

Pour remplacer le vin ou l'économiser, on fabriquait un peu de cidre.

En occitan, le mot citra est féminin.

Celui qui pressait le cidre était appelé lo citraire.

On se regroupait pour écraser (escrachar) les pommes avec l'escracha-pomas et les presser (premsar, trolhar) au moyen d'un pressoir appelé truèlh.

On donnait le marc (la traca) aux vaches et on en gardait pour le faire distiller par l'alambicaire.

Ethnotexte

Raymond CAPOULADE

né en 1943 à La Cristilie de Soulages, décédé en 2023.

Transcription

Occitan
Français
« Balhàvem la traca a las vacas, aquò lor fasiá montar lo lach, que fasiam de fromatge, un bocin. E pièi, ne metiam dins una barrica e, la prima, la distillàvem. L’alambicaire veniá a Solatges. »

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Localisation

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