L'aigardent
Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis…
On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.
Ethnotexte
André et Gérard MOUYSSET
nés en 1930 et 1943 à La Bessière de Sauveterre de Rouergue.
Transcription
Occitan
Français
« Sonhavan tot ambe d’ai(g)ardent : lo raumàs, las dents, un còp... »
Pas de traduction pour le moment.
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