Lo carivari

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Introduction

Lorsque qu’un veuf (viuse) ou une veuve (viusa) se remariait, la jeunesse organisait de bruyants carivaris ou carvalins. Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte. Le charivari s’arrêtait quand les futurs mariés payaient à boire aux perturbateurs.

Ethnotexte

Henri MENEL

né en 1940 à Saint-Julien de Rodelle.

Transcription

Occitan
Français

« Lo carivari se fasiá. Fasián de bruch ambe de pairòlas, de dalhas, de clapas, tot aquò que fasiá de bruch. N’i aviá mème un qu’aviá un brau. »

« Le charivari se faisait. Ils faisaient du bruit avec des chaudrons, des faux, des sonnailles, tout ce qui faisait du bruit. Il y en avait même un qui avait un brau (idiophone imitant le meuglement d’un taureau). »

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