Vue générale et restes de neige (nèu), janvier 1999

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Introduction

Vue générale et restes de neige (nèu), janvier 1999

Le terme de ribièira (latin ripa) ne désigne pas le cours d’eau car celui-ci porte en général un nom propre ; il désigne le fond de la vallée ou l’ensemble de celle-ci.
Le fond des vallées était consacré aux cultures vivrières et aux fourrages cependant que les versants bien exposés étaient couverts de céréales ou de vignes cultivées en terrasses (faissas, laissas...).

« La communauté de Rivière dépendait autrefois de la vicomté de Creissels. La chapelle de sainte Barbe était annexe de l’église de Saint-Hilarin de Peyrelade. Les curés abandonnèrent la seconde pour la première, plus accessible. Ce ne fut pas sans l’opposition d’une partie des paroissiens. Le transfert fut approuvé en 1745. La chapelle fut agrandie en 1662 (restes insignifiants) et remplacée vers 1820 par une nouvelle église dédiée à saint Hilarin. Dans les environs, ensembles, remarquables, de caves viticoles, adossées aux pentes (XVIIe-XXe s.).
Une petite chouannerie se développa dans la région de Rivière, surtout du côté du Bourg vers 1799. » (Jean Delmas, 1999)

Ribièira de Tarn, genièr de 1999

Toponymes ayant un rapport avec ribièira (latin) : Le toponyme de ribièira se rencontre parfois sur des hauteurs où se trouvent des terrains comportant des galets, des graviers et du sable. Ce terme peut être utilisé dans le langage courant pour les vallons. On parlera ainsi de la ribièira de Marcilhac.
La Ribièira, Ribièira de Tarn, La Ribièireta, Lo Ribièiròl...

Photo

Vue générale et restes de neige (nèu), janvier 1999
© Institut occitan de l'Aveyron (Villefranche-de-Rouergue)

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