Las lauradas

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de Rieupeyroux Voir sur la carte
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Introduction

Dans les temps anciens et sur les exploitations les plus petites, tout le travail de préparation de la terre se faisait à la main, avec des outils de jardinage (bigòs, bigòssa, marra, marron…). 

L’antique araire était d’un usage courant qui s’est maintenu jusqu’au milieu du XXe siècle. Vinrent ensuite les charrues simples (dombasles dites parfois bombaslas) et les charrues Brabant simples (brabanetas) et doubles (brabants).

L’araire appelé aussi cròc, cambeta, araire pichon ou araire ponchut servait aussi bien pour le labour que pour recouvrir la semence. On s’en est longtemps servi per enregar los patanons.

Ethnotexte

Michel ANDURAND

né en 1925 à La Fageole de Rieupeyroux.

Transcription

Occitan
Français
« Lauravan ambe l’araire en boès que aviá mème pas d’aurelha per virar la tèrra, aquò tombava coma aquò podiá. E semenavan lo blat dedins. »

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