L'escodre

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de Rieupeyroux Voir sur la carte
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Introduction

Dans les temps anciens, on battait le grain à la latte (lata, pèrga) d’origine celtique ou au fléau (flagèl) d’origine latine. 

Dans certains secteurs, on dépiquait aussi par piétinement (calcar, caucar, chaupir) ou à l'aide d'un rouleau épannelé (rotlèu, redolet). 

Les fermes disposaient en général d'une aire de battage pavée (sòl). Dans les villages, il y avait parfois un sòl commun. 

Les premières machines, appelées cròcapalhas, rasclet ou rasclaire, étaient actionnées par des hommes, à la manivelle, ou par un manège de bœufs ou de juments. Vinrent ensuite les batteuses utilisant l’énergie produite par une machine à vapeur. 

Après, il fallait venter le grain au tarare (ventador, ventaire). Dans les temps anciens, on séparait le grain de ses poussières au vent, dans un tamis (curvèl).

La main d'œuvre était toujours importante et l'entraide primordiale.

Los crosèls sont des gerbes (garbas) regroupées par 12 ou par 16.

Ethnotexte

Maurice BOURSINHAC

né en 1922 à La Serre de Rieupeyroux.

Transcription

Occitan
Français
« Nautres, aviam un pichon jorn d’escodre. Aquò representava dins los sièis cents crosèls a pus près. »

Pas de traduction pour le moment.

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Localisation

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