Las lauradas, lo parelh vaca-femna

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de Prévinquières Voir sur la carte
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Introduction

Dans les temps anciens et sur les exploitations les plus petites, tout le travail de préparation de la terre se faisait à la main, avec des outils de jardinage (bigòs, bigòssa, marra, marron…). 

L’antique araire était d’un usage courant qui s’est maintenu jusqu’au milieu du XXe siècle. Vinrent ensuite les charrues simples (dombasles dites parfois bombaslas) et les charrues Brabant simples (brabanetas) et doubles (brabants).

L’araire appelé aussi cròc, cambeta, araire pichon ou araire ponchut servait aussi bien pour le labour que pour recouvrir la semence. On s’en est longtemps servi per enregar los patanons.

Ethnotexte

Gabriel SCUDIER

né en 1911 à Félix de Prévinquières, décédé en 2003.

Transcription

Occitan
Français
« N’i aviá un que aviá pas qu’una vaca e pareis que atalava la femna de l’autre costat. Aquò, ieu l’ai pas vist mès z’o contavan.
Disiá : “A… Banon e tu, Mariton, te fai pas pregar !” »

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