Fòire a la bigòssa, l'araire

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de Prévinquières Voir sur la carte
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Introduction

Dans les temps anciens et sur les exploitations les plus petites, tout le travail de préparation de la terre se faisait à la main, avec des outils de jardinage (bigòs, bigòssa, marra, marron…). Autrefois les terrains des versants étaient d'ailleurs plus recherchés que ceux des plateaux, car ils étaient mieux exposés et plus faciles à travailler à bras. 

L’antique araire était d’un usage courant qui s’est maintenu jusqu’au milieu du XXe siècle. Vinrent ensuite les charrues simples (dombasles dites parfois bombaslas) et les charrues Brabant simples (brabanetas) et doubles (brabants).

L’araire appelé aussi cròc, cambeta, araire pichon ou araire ponchut servait aussi bien pour le labour que pour recouvrir la semence. On s’en est longtemps servi per enregar los patanons.

Ethnotexte

Camille SCUDIER

né en 1913 à Félix de Prévinquières, décédé en 2015.

Transcription

Occitan
Français
« N’i aviá que fosián pas qu’ambe la bigòssa per semenar un briat de milh o un briat de patanons, avián pas mème de vacas per jónger.
Alèra trabalhavan puslèu aquò que penjava que aquò planièr.
Lo rendament deviá pas èstre plan bèl.
Chals vesins, l’ai vist l’araire de boès. »

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Localisation

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