Introduction
Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.
Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.
On utilisait les fleurs ou les feuilles de lis blanc (liri, lire), que l'on conservait dans de l'huile (òli) ou de l'eau de vie (aigardent), pour soigner les coups (pics, pets) ou les plaies (plagas, talhadas, brutladuras…).
Ethnotexte
Jeanne DONORE
née Laborie en 1932 à Lapeyrugue (15).
Transcription
Occitan
Français
« Metián trempar lo lis dins d’aiga de vida e se'n servián per las plagas. »
Pas de traduction pour le moment.
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