Les boriaires

Collecté en 1996 par IOA Sur la Commune de Mur-de-Barrez Voir sur la carte
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Introduction

À côté de quelques grands domaines et d’exploitations moyennes, il y avait autrefois un grand nombre de petits paysans qui vivaient en polyculture sur des propriétés morcelées.

Ce morcellement était dû en partie aux aléas successoraux et aux opportunités d’acquisition, mais également au souci d’utiliser au mieux la diversité des terroirs en fonction de la nature des sols et de leur exposition.

Quand on n'avait pas assez de terres, on pouvait trouver un complément de revenu en exerçant un métier ou en se louant.

On pouvait aussi prendre une exploitation en fermage. Le bail commençait le 25 mars et on dressait un inventaire avec le propriétaire (coarro). Le bail pouvait convenir d'un paiement partiel en nature (cochon engraissé, fourniture de grain pour la volaille…) par le fermier (boriaire).

Dans certains contrats on partageait tout (a mièjas) avec le propriétaire.

Ethnotexte

Marie PRADOUX

née Moissinac en 1935 à Glénat (15).

Transcription

Occitan
Français
« Les parents èran boriaires, saiam a mièjas, tot èra a mièjas, lo lach, las bèstias, la frucha… Èran pas riches. »

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