La cauç

Collecté en 1999 par IOA Sur les Communes de Morlhon-le-Haut, St-Salvadou, Villefranche-de-Rouergue Voir sur la carte
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Introduction

Pour avoir du froment, il a fallu chauler les terres du Ségala. Avant le XXe siècle, les premiers approvisionnements en chaux (calç, cauç) se faisaient avec des chars à bœufs (carris de buòus). On s’approvisionnait aux fours à chaux (calcièrs, cauç-forns) d'Anglars, Bertholène, Flavin, Lunel, Villefranche, Villeneuve…A partir de 1902, l'arrivée de la chaux de Carmaux par le Viaduc du Viaur a permis d'intensifier et de systématiser le chaulage du Ségala. 

Le recours à la chaux semble avoir été moins important vers Rieupeyroux que sur d’autres secteurs du Ségala. Peut-être était-ce dû à l’importance de la châtaigneraie (castanhal) et de la culture de la pomme de terre (patanon) ainsi qu’à la nature des sols granitiques moins exigeants que les schistes.

Ethnotexte

Firmin GARRIGUES

né en 1905 au Puech de Marmont de Morlhon.

Transcription

Occitan
Français
« Se metèron a metre de cauç [devàs Sent-Sauvador] quand Alcofa, lo Cantre qu’apelavan, dubri(gu)èt lo cauç-forn a La Vila. »

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